Quand un monde était bienveillant,

Destiné à retenir l'attention sur les comportements,
détériorés par les comportements parasites (voleurs de qualité de vie, voleurs de vie).

Les villages ne vivaient pas en ville...

Chacun développait ses aptitudes selon ses désirs, selon ses inspirations...

Chacun apprenait à se recentrer selon ses capacités

et revoir ses désirs en lien avec sa satisfaction de ses performances...

Il y avait les créateurs, rendant les choses plus belles, plus faciles et agréables

Il y avait les artisans, étant les inventeurs à rendre aussi les choses plus faciles et agréables

Il y avait les habiles qui matérialisaient les idées et fabriquaient tout pour réussir

Il y avait les paysans, très près de la nature qui nourissaient par l'abondance

Il y avait les forts aimant l'ouvrage dur comme les forgerons, les bucherons, les charpentiers...

Il y avait les sages qui tenaient compte de l'importance de chacun

et de garder la connaissance dans la pratique de la connaissance bienveillante

...

Et si un con naissait, le village le menait aux sages pour le guérir...

Le con guérissait et trouvait sa place à être ce qu'il désirait sans être-con!

C’était des vies riches nécessaires! C'était parfait!

...

Mais un jour les cons furent de plus en plus nombreux

Et prirent des formes de cons différentes...

Il y a eu les paresseux

Il y a eu les menteurs

Il y a eu les corrupteurs

Il y a eu les voleurs

Il y a eu les violeurs

Il y a eu les violants

Et les autres dérivés...

...

Les sages étaient submergés et dépassés...

Les villages, un après l'autre, décidèrent de rejeter,

de mettre dehors ces cons envahissants..

Ces cons, paresseux, menteurs, voleurs, violeurs, violants.. souffrirent de leur manque insatiable

Ce manque ne les amena pas à réfléchir et à se remettre en question...

...

Au début, ils se malmenèrent entre eux, pour se nourrir et satisfaire leur vice

Ils ne furent jamais satisfait et ils se mirent à piller de plus en plus les villages...

Au début, par vengeance, ils pillèrent les villages,

tout en détruisant les habitats et même tuer les habitants

Encore là, cela dura un temps car il n'y avait plus rien à piller, et détruire...

Ces cons, paresseux, menteurs, voleurs, violeurs, violants.. souffrirent de manque insatiable

Ce manque ne les amena pas à réfléchir et à se remettre en question...

...

Des sages furent tués,

d'autres montèrent dans les montagnes et se cachèrent dans les grottes

Ils furent encore là pour les villageois qui pouvaient monter pour les consulter

Avec le temps ses sages devinrent de plus en plus des ermites

Oubliant la nature de la vie des villages, des villageois et de la richesse de la diversité

Oubliant la guérison de chaque con!

Ces cons en manque, haïrent encore plus les villageois les rendant coupable de leur manque insatiable

Ils formèrent des tribus et des clans, laissant prospérer un peu chaque village

pour s'en faire des garde-mangers

...

Et de façon saisonnière et séquentielle,

ils pillèrent, kidnappèrent les belles et jeunes femmes

et détruisirent comme con-séquence, ceux qui ne con-sentent pas à leurs conneries

sans toutefois tout détruire pour garder productif leur garde-manger.

...

Certains villageois n'ayant plus de village, se rebellèrent, ce qui amena des combats et guerres..

Puis des clans plus fort se mirent à offrir leur service de protection

pour une dîme et provisions perpétuelles

Ce qui créa les armées et des gouvernes...

...

Mais la connerie se répendait comme une con-tamination de plus en plus vaste...

Les services de protection se transformant en prise d'otage, en rançon et puis...

En gouverne-ment... proférant

des mensonges, des menaces, des promesses, des croyances, des espérances de paix pour se nourrir...

Se nourrir de toutes richesses créées par les artisans, les habiles, les paysans, les forts, et les sages.

Au mépris d'une vie intelligente, prospère, évolutive et en harmonie avec la diversité de la nature

La lumière n'est pas sombre et dans le physique, son ombre n'est pas sombre...

Un arbre a une ombre mais n'est pas sombre...